L’enjeu est d’inciter à l’utilisation de transports collectifs et des déplacements ludiques ou sportifs, et faire en sorte que le recours à la voiture individuelle soit jugé inutile et pas forcément plus confortable par l’usager, ce qui est généralement l’argument le plus mis en avant.
Le quartier est structuré par trois axes routiers traversants, formés en lien avec la voirie existante. A l’exception de ces axes, la voiture ne devrait que très peu circuler à l’intérieur du quartier et la plupart des rues seront limitées à 20km/h, une vitesse réduite volontairement dissuasive.
Par ailleurs, une solution innovante concernant le stationnement : trois parkings-silos mutualisés. Ces parkings-silos présentent la particularité de pouvoir évoluer vers d’autres fonctions (activités, bureaux, voir logements) lorsque les besoins en stationnement auront diminué.
Aussi, l’auto-partage sera développé en relation avec la mutabilité des parkings excentrés.
Enfin, Le projet d’écoquartier développe aussi le covoiturage entre les habitants.